🧱 Fin de session 2025 : le PQ se pose en seul vrai contrepoids
Le Parti québécois clôt l’année parlementaire en mode offensif : reculs de la CAQ, institutions fragilisées et appel renouvelé à reprendre le contrôle collectif du Québec.
⭐ INTRODUCTION
Le bilan de fin de session du Parti québécois expose une fracture claire entre un gouvernement Legault en fin de cycle et une opposition qui s’assume comme contrepoids structuré. En quelques mois, le PQ a forcé des reculs majeurs de la CAQ, mis en lumière un climat social tendu, et replacé l’indépendance au cœur du débat public. Cette sortie frappe parce qu’elle révèle un Québec gouverné au gré des crises et des baillons, alors que les citoyens attendent des solutions concrètes, surtout en santé, en éducation et sur le coût de la vie. APDQ propose ici une lecture citoyenne, critique et lucide de ce que ce bilan dit vraiment sur notre démocratie et sur la suite des choses.
🎥 VIDÉO
⏱️ HORODATAGE
00:00:00 — Intro et bilan général du PQ
00:02:00 — Dossiers où le PQ fait reculer la CAQ
00:06:30 — Déficits et Santé Québec
00:11:40 — Démocratie, rôle de l’opposition, sondages
00:17:26 — Élections anticipées et usure de la CAQ
00:26:05 — Sondages, indépendance et place des femmes
00:32:00 — Médias anglophones : image du Québec et climat social
00:40:57 — Conclusion et message final
🏛️ CONTEXTE POLITIQUE
Le bilan survient dans une session où le gouvernement Legault semble avoir gouverné à travers des clivages plutôt qu’en fonction de l’intérêt public. Les dossiers sensibles – santé, immigration, éducation, écrans chez les jeunes – ont exposé un pouvoir affaibli et souvent forcé de reculer.
Le PQ, passé de 4 à 9 députés après deux partielles, s’impose désormais comme l’opposition la plus cohérente. Sa montée dans les sondages modifie le rapport de force et contraint la CAQ à ajuster son discours et ses priorités.
Au cœur de tout : le climat social. Les tensions sur le coût de la vie, les déficits et les réformes mal préparées comme Santé Québec nourrissent une perception d’improvisation gouvernementale.
🔍 ANALYSE CITOYENNE (APDQ)
Le PQ met le doigt sur un enjeu majeur : la gestion politique par la perception. Depuis des mois, la CAQ semble réagir aux sondages plutôt qu’aux besoins réels, ce qui se traduit par des projets de loi bâclés, des baillons répétitifs et des reculs forcés. Pour les citoyens, cette spirale crée un sentiment que l’État navigue à vue.
Le dossier des écrans et celui des chauffeuses et chauffeurs inc. illustrent cette dynamique : des reculs imposés par une opposition déterminée, pas par un gouvernement proactif. L’écart entre discours et actions devient un point de crispation citoyenne.
Le PQ frappe aussi sur la démocratie interne du Québec. L’usage des baillons, la centralisation de Santé Québec, les motions improvisées : tout cela nourrit l’idée d’un pouvoir qui s’use et se ferme. Ce que les médias nomment « fatigue gouvernementale », les citoyens le vivent comme une perte de contrôle.
Enfin, l’appel renouvelé à l’indépendance n’est pas présenté comme un slogan, mais comme une réponse à la frustration d’un Québec qui peine à défendre ses choix collectifs. Pour PSPP, l’indépendance devient une solution à une gouvernance qui étouffe sous les compromis.
📢 RÉACTIONS ET CONTROVERSES
Le gouvernement se défend en disant qu’il faut agir vite, quitte à bousculer l’Assemblée.
L’opposition dénonce un sabotage des travaux parlementaires pour éviter les débats de fond.
Des groupes citoyens expriment leurs inquiétudes face à Santé Québec et à la centralisation.
Les médias questionnent la capacité de Legault à tenir jusqu’en 2026 sans déclencher d’élections.
Les échanges sur l’indépendance ramènent au premier plan la question du courage politique.
⚖️ CONSÉQUENCES LÉGISLATIVES ET SOCIALES
Renforcement du pouvoir central en santé, au détriment de la reddition de comptes.
Climat social plus fragile, avec un sentiment de gouvernance improvisée.
Pression politique accrue pour moderniser la loi sur les élections à date fixe.
Montée du discours souverainiste comme réponse à l’inertie perçue.
Érosion de la confiance envers les institutions parlementaires.
🚨 IMPACTS POSSIBLES
Perte progressive de légitimité pour un gouvernement déjà usé.
Accélération des appels à des élections anticipées.
Polarisation accrue autour de la santé, de l’immigration et de la démocratie.
Relance du débat sur l’indépendance comme projet de société.
Mobilisation citoyenne plus forte face aux baillons et à la centralisation.
Risque que les décisions publiques deviennent encore plus réactives et instables.
❓ QUESTIONS ESSENTIELLES
Jusqu’où un gouvernement peut-il épuiser les institutions avant de perdre complètement la confiance du monde ?
Des élections anticipées seraient-elles un geste partisan… ou une nécessité démocratique ?
Le projet d’indépendance peut-il devenir une réponse constructive au ras-le-bol collectif ?
Comment assurer une gouvernance basée sur les besoins réels plutôt que sur les sondages ?
Qui portera le coût politique de la centralisation en santé si les résultats ne suivent pas ?
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