💥 La Kamikaze du PLQ : le suicide politique qui fera payer tout le Québec
Une cheffe parlementaire qui se transforme en kamikaze politique, une crise interne qui dégénère en guerre judiciaire… et une facture salée qui retombe sur les contribuables québécois.
💥 Suicide politique… et dommages collatéraux : comment Rizqy a dynamité son propre parti
Il existe des crises qui affaiblissent un parti.
D’autres qui divisent un caucus.
Et puis, il y a celles — rarissimes — où une seule personne, par pure imprudence, décide d’appuyer sur le détonateur et de tout faire exploser autour d’elle.
C’est ce qui vient de se produire au Parti libéral du Québec.
Marwah Rizqy n’a pas commis une simple erreur.
Elle n’a pas seulement saboté sa carrière.
Elle a fait quelque chose de beaucoup plus violent, beaucoup plus destructeur :
un suicide politique avec dommages collatéraux massifs.
Un geste kamikaze, où la protagoniste se détruit… mais surtout, cherche inconsciemment à faire le plus de dégâts possible avant de quitter la scène.
Et le pire dans tout ça ?
La facture de son explosion… c’est nous qui allons la payer.
🔥 Un chef sans siège, une mission claire… et un pari que Rodriguez va regretter longtemps
Quand Pablo Rodriguez devient chef du PLQ, il n’a pas de siège à l’Assemblée nationale.
Il lui faut une voix.
Une représentante.
Un visage pour porter ses messages, poser les questions, encaisser les coups, maintenir le navire debout.
Il choisit Marwah Rizqy.
Un énorme geste de confiance politique.
Il pourrait garder Marc Tanguay.
Il pourrait choisir quelqu’un d’autre.
Mais non : il place Marwah Rizqy au centre du dispositif libéral, la nomme cheffe parlementaire, lui confie les clés du Parlement.
Avec lui, il amène également une alliée de toujours :
Geneviève Hinse, loyale, compétente, bra droite stratégique, devenue directrice de cabinet.
Les rôles sont clairs.
La mission est claire.
Le plan est clair.
Jusqu’à lundi dernier.
💣 Rizqy congédie la directrice de cabinet du chef… sans avertir personne
Pas d’appel.
Pas de message.
Pas d’avertissement.
Pas de consultation.
Elle congédie la directrice de cabinet du chef du PLQ, en invoquant une « faute grave »… mais sans jamais dire laquelle.
Pour Pablo Rodriguez, c’est une trahison pure.
Pour le caucus, un coup de poignard.
Pour les militants, un choc total.
Et comme si ce n’était pas assez, le lendemain, lors de la rencontre avec le chef, elle se présente avec son avocat.
Pas pour apaiser les tensions.
Pas pour sauver le parti.
Pas pour expliquer la situation.
Non.
Pour se protéger, ELLE.
À ce moment-là, plus aucun doute :
Marwah Rizqy n’est pas dans une logique politique.
Elle n’est pas dans une logique d’équipe.
Elle n’est pas dans une logique institutionnelle.
Elle est dans une logique défensive, personnelle, juridique.
Une kamikaze qui vient de faire exploser la maison… et qui arrive avec son parapluie en disant qu’elle ne veut pas se mouiller.
🧨 Et la crise ne fait que commencer : la guerre judiciaire s’enclenche
Geneviève Hinse réplique immédiatement.
Une mise en demeure.
Puis une poursuite : 500 000 $ en dommages moraux et punitifs.
Rizqy répond avec son avocat.
Hinse répond avec le sien.
Et le PLQ ?
Il regarde son parti se fragmenter sous ses yeux.
Mais l’aspect le plus cynique est ici :
👉 Marwah Rizqy sera défendue… PAR L’ASSEMBLÉE NATIONALE.
Donc :
✔️ C’est nous qui payons les avocats de Marwah Rizqy.
✔️ C’est nous qui payons ses frais judiciaires.
✔️ Et si elle perd, c’est encore nous qui allons payer la compensation de 500 000 $ réclamée par Geneviève Hinse.
Pendant ce temps :
❌ Geneviève Hinse, elle, doit payer son avocat de sa propre poche.
Un déséquilibre ABSURDE.
Un scandale silencieux.
Un exemple parfait du genre de situation qui nourrit le cynisme politique depuis 20 ans.
Et attention :
Ce genre de procès peut durer des mois, peut-être des années.
Rien n’empêche cette guerre juridique de se rendre jusqu’aux prochaines élections.
Le kamikaze a tiré sa frappe.
Mais c’est la population qui paiera la reconstruction.
📰 Et comme si l’explosion n’était pas assez forte… Le Journal de Montréal rajoute de l’essence sur le brasier
À peine le PLQ a-t-il le temps de comprendre ce qui vient de se passer que Le Journal de Montréal publie des textos anonymes insinuant que 100 $ auraient été offerts pour voter pour Pablo Rodriguez.
Aucune preuve.
Aucun nom.
Aucun numéro.
Juste une capture d’écran sortie d’un tiroir, au moment exact où le PLQ est vulnérable.
On appelle ça du jet de grenade médiatique.
Les autres médias ne posent pas de question :
ils relaient.
Ils répètent.
Ils amplifient.
Tout à coup, le PLQ doit se défendre contre des allégations peut-être totalement inventées, pendant que la source elle, se cache derrière la protection journalistique.
Pendant ce temps-là, le Journal profite de la crise pour faire des clics.
Ce n’est même plus de l’information — c’est du divertissement politique sur le dos d’un parti en train de se réorganiser.
🚑 Rizqy, maintenant indépendante, attend la pension… et laisse les ruines derrière elle
Après avoir fait exploser le parti, elle choisit maintenant de siéger indépendante, le temps de terminer son mandat, de toucher sa pleine pension, et de quitter la vie politique.
On la verra moins en chambre.
Elle ne portera plus les dossiers.
Elle ne fera plus avancer les combats libéraux.
Mais elle restera là… juste assez longtemps pour encaisser ce que le système lui doit.
Le contraste est violent :
➡️ Une femme aimée du public sur la façade
➡️ Une élue qui a planté un couteau dans le dos de son chef
➡️ Une députée prête à faire couler son propre parti
➡️ Une élue défendue par votre argent et le mien
➡️ Une crise qui coûtera cher, très cher, aux contribuables
➡️ Une tempête judiciaire qui peut durer jusqu’aux prochaines élections
➡️ Une dirigeante politique qui s’en va tranquillement avec sa pension
Et le PLQ ?
Il ramasse les morceaux.
🎯 **La vraie erreur de Rodriguez ?
Croire qu’on pouvait faire confiance à Marwah Rizqy.**
Parce qu’au fond, tout part de là.
Ce n’est pas d’avoir réagi trop tard.
Ce n’est pas d’avoir mal calculé la situation.
Ce n’est pas même d’avoir affronté les médias.
Non.
La vraie erreur, c’est d’avoir cru que Marwah Rizqy était une équipière.
Alors que tout démontre aujourd’hui qu’elle ne pense qu’à elle-même.
Faire confiance à Rizqy… c’était risqué.
Et les faits viennent de le confirmer de façon spectaculaire.
🔥 Conclusion : une kamikaze politique qui laisse la facture aux citoyens
Marwah Rizqy n’a pas seulement quitté la route.
Elle a pris le volant, tourné brusquement, et foncé droit dans la façade du PLQ.
Elle a détruit la confiance.
Elle a déclenché une crise interne majeure.
Elle a alimenté le cynisme médiatique.
Elle a ouvert la porte à une guerre judiciaire longue et coûteuse.
Elle a brûlé sa réputation… et celle de son parti.
Et surtout : elle a laissé la facture à la population québécoise.
Une kamikaze qui a fait exploser la maison…
et qui laisse l’ardoise sur la table en sortant.

