📣 La voix des citoyens s’invite… et bouscule l’ordre du jour !
🎙️ Ici, on regarde la politique comme elle devrait être vue : sans filtre, sans détour, au service du citoyen.
⭐ INTRODUCTION
La séance générale du 11 novembre 2025 expose crûment les rapports de force à l’Assemblée nationale. Entre déclarations calibrées, pétitions chargées de vécu citoyen, motions à potentiel explososif et adoption finale, on voit se dessiner ce que chaque parti défend… et ce qu’il préfère éviter. Cette séance de plus de deux heures révèle comment la procédure devient un outil politique : accélérer, ralentir, étouffer ou mettre en lumière. Pour les citoyennes et citoyens, c’est une fenêtre rare sur la mécanique interne d’un Parlement où chaque geste — même technique — peut avoir un impact bien réel. APDQ décortique ce théâtre politique pour comprendre qui agit réellement, qui parle fort, et qui tente de contourner les débats essentiels.
🎥 VIDÉO
⏱️ HORODATAGE
00:00:00 — Déclarations de députés
00:22:03 — Pétitions citoyennes
00:22:32 — Motions et manœuvres
00:36:11 — Avis touchant les travaux
00:38:06 — Affaires courantes
00:38:09 — Affaires du jour
00:59:36 — Adoption finale
00:59:49 — Allocution / interventions
🏛️ CONTEXTE POLITIQUE
La séance du 11 novembre 2025 s’inscrit dans un moment où le gouvernement de la CAQ tente de maintenir le contrôle de l’agenda parlementaire. Les déclarations de députés servent de messages politiques clés pour cadrer l’actualité, tandis que les pétitions citoyennes font remonter des enjeux concrets — souvent ignorés dans les grandes annonces.
Les oppositions (PLQ, PQ, QS) utilisent les motions pour forcer des prises de position claires, parfois inconfortables, sur des sujets sensibles : services publics, transparence, contrats publics, arbitrages budgétaires. Les avis touchant les travaux montrent comment chaque parti tente d’influencer la suite des débats.
Le climat général est tendu : la population s’impatiente sur la santé, l’éducation, le transport, et l’Assemblée devient un lieu où ces tensions éclatent sous forme de stratégies procédurales serrées. L’adoption finale d’un dossier attendu conclut la séance en révélant les priorités réelles du gouvernement.
🔍 ANALYSE CITOYENNE (APDQ)
La séance rappelle un principe fondamental : la procédure n’est jamais neutre. Ce qui semble administratif est souvent profondément politique. Les déclarations, par exemple, servent à tester des narratifs et à préparer le terrain médiatique — un espace où le gouvernement comme l’opposition cherchent à imposer leurs cadres.
Les pétitions exposent une réalité crue : il persiste une distance importante entre les promesses gouvernementales et ce que vivent les citoyennes et citoyens. Elles rappellent que la pression populaire est bien réelle, mais que son impact dépend du choix des partis de s’en saisir… ou non.
Les motions, quant à elles, deviennent des outils d’imputabilité. Elles forcent des positions claires, mais deviennent aussi des armes pour gagner du temps ou détourner la conversation. La stratégie procédurale est omniprésente.
Dans les affaires courantes et du jour, on voit les vraies priorités : ce que le gouvernement pousse rapidement, ce qu’il laisse traîner, et ce que l’opposition tente d’inscrire à l’agenda malgré les obstacles.
Enfin, l’adoption finale révèle la mécanique interne du pouvoir : discipline de vote, compromis parfois invisibles, et gestion des irritants internes. C’est là que la politique cesse d’être déclarative et devient concrète.
📢 RÉACTIONS ET CONTROVERSES
Le gouvernement réaffirme son contrôle de l’agenda et défend ses choix de priorités.
Le PLQ, le PQ et QS soulignent l’écart entre les pétitions citoyennes et l’action gouvernementale.
Des groupes appuient fortement les enjeux portés par les pétitions déposées.
Des tensions émergent sur l’ordre des travaux et l’usage des motions comme outils de pression.
Le public s’interroge sur l’efficacité réelle des engagements annoncés en séance.
⚖️ CONSÉQUENCES LÉGISLATIVES ET SOCIALES
Fixation des balises procédurales qui guideront les travaux des prochaines semaines.
Réaffirmation du cap gouvernemental malgré les pressions des oppositions.
Probabilité de suivis en commission et dans l’étude des crédits, avec risque de retards.
Augmentation des attentes citoyennes envers des résultats concrets et mesurables.
Clarification (partielle) des engagements politiques découlant de l’adoption finale.
🚨 IMPACTS POSSIBLES
Risque d’accentuation du fossé entre citoyens et institutions si les pétitions restent sans effet.
Tensions accrues entre gouvernement et oppositions sur l’usage du temps parlementaire.
Augmentation du cynisme si les motions servent surtout de communication.
Pression sur le gouvernement pour livrer rapidement des résultats tangibles.
Réorientation potentielle des priorités législatives selon les débats publics à venir.
❓ QUESTIONS ESSENTIELLES
La procédure parlementaire sert-elle réellement l’intérêt public… ou surtout l’intérêt des partis ?
Les pétitions citoyennes modifient-elles concrètement l’agenda gouvernemental ?
Les motions sont-elles un outil d’imputabilité ou un instrument de communication politique ?
Qu’engage vraiment l’adoption finale votée lors de cette séance ?
Comment mesurer de façon publique et objective les résultats promis ?
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